30 ans ; Célibataire ; Pansexuelle ; Photographe d’architecture SURNOM Em la plupart du temps, Lilybee par ses parents. DATE ET LIEU DE NAISSANCE 05 août 1994, San Francisco. Née sous X, elle ne connaît rien de ses origines et n’a jamais cherché à en savoir plus. ÉTUDE ET DIPLÔME Elle a complété le cursus de 3 ans en vidéo et film à la California Institute of the Arts, mais s’est finalement dirigée vers la photographie, plus particulièrement d’architecture, quand elle a eu la chance de décrocher ses premiers succès. CARACTÈRE Emily est de ces gens toujours en mouvements, que rien ne semble arrêter. Rien n’a l’air de pouvoir décrocher son sourire de son visage. C’est un petit bout de femme qui entraîne facilement les gens avec elle, qui fait tout passionnément et qui voudrait que tout le monde aime autant la vie qu’elle. C’est une tornade de bonne humeur, qui a plus de mal à s’arrêter qu’elle n’a du mal à commencer la journée. Têtue comme une bourrique, si elle a une idée en tête, il est très difficile de l’en décrocher. Si c’est quelqu’un de foncièrement réellement gentil et il en faut beaucoup pour la mettre en colère, elle n’oublie cependant jamais une crasse, capable de tenir rancune sur des années à quelqu’un. C’est une extravertie qui a besoin des gens pour être heureuse, mais qui fait malgré tout particulièrement attention à qui elle donne son amitié. La confiance d’Emily se gagne avec le temps et les preuves, mais une fois qu’elle est acquise, vous pourrez l’appeler en pleine nuit pour enterrer un cadavre, elle répondra présente. Elle a tendance à foncer dans le tas et à réfléchir après, ce qui lui a amené pas mal de problèmes quand elle était plus jeune. Elle se contrôle mieux avec l’âge, mais c’est encore loin d’être parfait et en soi, c’est aussi pour ça qu’on l’aime: c’est une aventurière avec qui on est sûr de ne pas s’ennuyer. PASSE-TEMPS Photographie, lecture, équitation, danse, randonnée, voyages. AIME/AIME PAS Elle aime les gens et déteste la violence gratuite. Elle aime le café et déteste le thé noir. Elle adore les chevaux et a la phobie des chats. Elle aime sa liberté et supporte mal de rester enfermée longtemps chez elle. Elle aime les fruits exotiques et a horreur des betteraves. Elle adore les manèges à sensation fortes et n’aime pas les jeux d’argent. Elle aime la photographie de bâtiments et de nature, mais n’aime pas photographie de portraits humains. Elle aime le soleil et déprime quand il pleut trop. GROUPE kiwis dynamiques.

Quand elle était enfant, tout ce qu’Emily voulait, c’était une famille à elle. Ce rêve s’est réalisé lorsqu’elle a eu quinze ans. Depuis, elle s’est surtout promis d’être heureuse. Elle a toujours voulu être photographe, c’est donc son rêve qui la porte au quotidien. Et si sa liberté lui est précieuse, elle nourrit malgré tout le rêve de trouver quelqu’un avec qui partager sa vie, qui comprenne son besoin d’indépendance et ne la freine pas dans ses projets. Elle n’a jamais vraiment été amoureuse, parce qu'elle n'a jamais prit le temps de l'être. Elle aimerait que ça change, pour pouvoir à son tour avoir quelqu’un qui l’attende à la maison.


La seule chose qu’Emily sache de sa mère, c’est que c’est elle qui a choisi son prénom. Abandonnée à la naissance, elle a enchaîné les familles d’accueil toute son enfance. Trop vive, trop têtue, trop bruyante… toujours trop quelque chose, l’énergie de la petite Emily dépassait très vite les adultes. Probablement a-t-elle vécu des choses pas toujours drôles, mais elle n’en parle pas. C’est peu de temps avant son quinzième anniversaire que Rachel et Alan Barton ont passé la porte de l’orphelinat et, après plusieurs visites, ont décidé de tenter l’aventure avec une adolescente au caractère bien trempé. Il leur a fallu des mois pour obtenir sa confiance et ils en ont bavé. Emily n’a pas été tendre avec eux, elle a testé les limites autant qu’elle l’a pu. Un jour, elle les a dépassées et c’est de voir Rachel en larmes suite à une dispute qui lui a fait réalisé qu’elle avait envie de considérer ces gens comme ses parents. Depuis, elle a noué avec eux une telle complicité qu’il n’y a aucun doute laissé, ce sont ses parents. Sauf si c’est vraiment nécessaire, elle ne dit d’ailleurs pas qu’elle a été adoptée. Comme en plus, elle ressemble à Rachel, les gens ne se posent pas la question.

Dès son enfance, Emily s’est montrée casse-cou. Elle grimpait absolument partout, semblant avoir un talent naturel pour se retrouver perchée là où elle n’aurait jamais dû l’être. Elle a perfectionné ses talents au fil des années et c’est une excellente acrobate des rues, qui sait vous échapper en un clin d’œil. C’est cet amour des cascades et des hauteurs qui lui a fait voir le monde autrement, la passionnant ainsi pour tous ces bâtiments qu’elle prend plaisir à escalader. De là est venu le rêve de mettre les constructions en valeur et celui d’être photographe d’architecture. Par soif d’apprendre et envie d’en ajouter plus à son CV, elle a fait quand même trois ans d’étude en réalisation de vidéos dans une école privée réputée de Californie mais, dès qu’elle en a eu l’opportunité, c’est vers la photographie qu’elle s’est tournée. Elle a beaucoup voyagé entre les États-Unis, la France et l’Italie. Elle s’est fait une solide réputation et vit de ses photos désormais. Elle continue de se rendre régulièrement à l’étranger pour rencontrer les amateurs de son travail.

Ce que les gens ne savent pas, c’est que derrière cette petite blonde à l’air innocent se cache une redoutable voleuse, avec un penchant pour les jolies pierres, montées en bijoux ou non. Elle a fait son premier vol peu après son adoption et n’a, hélas, jamais décroché de l’adrénaline que ça lui a provoqué. Elle n’a même pas fait fortune là-dessus, puisqu’elle ne revends pas. Adolescente, elle cachait ses trésors dans une grande boîte quelque part sous le toit-il y a fort à parier qu’elle y soit encore, à moins que les nouveaux propriétaires aient fait une drôle de découverte. Et puis, le temps passant, elle s’est créé un véritable personnage: c’est le clown acrobate qui a fait son chemin dans les ruelles plus sombre, puis qui a prit en importance. Maquillée, masquée, la voix modifiée, elle a fait des centaines de riches propriétés, narguant les caméras de sécurité en disparaissant par des endroits inattendus. C’est elle qu’on embauche quand on veut s’assurer de ne pas être attrapé. Plusieurs fois, les mains des policiers ont frôlé son corps, mais elle leur échappe toujours. Elle a été jusqu’à s’emparer de certaines pièces précieuses dans quelques musées. Elle sait qu’elle prend des risques, elle n’échappera sans doute pas éternellement à la justice. Mais c’est plus fort qu’elle, elle est incapable de se passer de cette double vie…

C’est d’ailleurs ce qui l’a poussé à déménager de nombreuses fois: la prudence, éviter d’être reconnue. Elle a d’abord vécu avec ses parents adoptifs à San Francisco, puis à Sacramento lorsqu’ils ont rejoint le père d’Alan pour l’accompagner dans sa fin de vie. Si eux y vivent toujours, Emily est partie faire ses études supérieures à Santa Clarita, puis a très vite prit goûts aux voyages. Elle n’a jamais eu beaucoup de bagages, vaquant d’appartement en appartement aux USA, d’abord autour de ses parents, puis de plus en plus loin. Ce qui la ramenait toujours en Californie, c’était sa jument, à qui elle n’avait pas envie de faire subir tout un tas de changement d’écurie. Oiseau libre, Emily n’a jamais prit le temps de vraiment se poser. Ce n’est pas spécialement dans l’idée de le faire qu’elle a déménagé dans le Vermont, mais bien parce qu’elle y a décroché une opportunité de travail, comme souvent. En tant que photographe d’architecture, tous ces bâtiments colorés et typiques du coin, c’est l’idéal! Qui vivra verra et on a qu’une vie, alors comme toujours, Emily fonce.


PSEUDO Jo.
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CRÉDIT DES IMAGES sweet disaster.